S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
24.05.2024 à 22 H 25 • Mis à jour le 25.05.2024 à 13 H 55
Par
Exclusif

Affaire LJM : Chakib Alj perd une fortune, ses sous-traitants à genoux

Chakib Alj (Cap Holding) et son ex-associé dans LJM, Mouad El Moussouli. Montage: Ezzoubeir Elharchaoui / Le Desk
L’aventure du patron des patrons dans la construction s’est soldée par un échec. En grande difficulté, la société Les Jeunes Maçons dans laquelle il s’était associé à l’entrepreneur Mouad El Moussouli, criblée de dettes et plombée par la gestion hasardeuse de son jeune fondateur, a arrêté ses chantiers dont celui de l’extension de Casa Green Town que lui a confié la CGI. Chakib Alj, se disant victime, promet cependant de « tout régler »

« J’ai perdu 160 millions de dirhams dans cette affaire, j’en suis la première victime », clame Chakib Alj. Joint par Le Desk, le patron des patrons dit regretter amèrement son incursion dans le BTP. L’homme d’affaires qui dirige Cap Holding est plutôt connu pour ses deals dans la farine que dans la construction. Il y a trois ans, il décide pourtant de prendre part au capital de la jeune société Les Jeunes Maçons (LJM) à hauteur de 40 %.


L’entreprise fondée à Fès en 2016 par Mouad El Moussouli, 35 ans, - qui gardait à ce stade une part égale de 40 %, le reste étant distribué à des proches respectifs -, ambitionnait de disrupter un secteur trusté par les poids lourds que sont SGTM ou TGCC. Mais la fougue du nouvel entrant tape dans l’œil de Chakib Alj qui y voit une belle opportunité de s’y faire une place au soleil, notamment via les programmes immobiliers de la Compagnie générale immobilière (CGI) ou pour de grands chantiers menés par des privés.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.