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25.02.2025 à 19 H 59 • Mis à jour le 26.02.2025 à 11 H 00
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Litige

Affaire Casa Parc : entre accusations et réponses du promoteur Treize Huit

Les travaux pour les nouvelles tranches du projet Casa Parc à Sidi Maârouf sont aujourd’hui suspendus. Crédit : Mustapha Razi / Le Desk
Les promoteurs du projet immobilier Casa Parc, Sadreddine Benhima et Hassan Benabdelali, dirigeants de la société Treize Huit, réaffirment que le détournement de fonds allégué de 92,7 MDH est « sans fondement ». Ils soutiennent aussi que des audits externes ont été demandés pour clarifier la situation, mais que Attijariwafa bank s'est montrée réticente à les examiner. Sans compromis, l’épilogue de l’affaire dépendra désormais des décisions judiciaires

Suite à la publication de notre article du 31 janvier intitulé « Affaire Casa Parc : où sont passés les millions prêtés par Attijariwafa Bank ? », Mohammed Hassan Benabdelali et Mohamed Sadreddine Benhima, promoteurs du projet de la résidence Casa Parc développé par la société Treize Huit Sidi Maarouf ont souhaité exercer un droit de réponse, à l’appui « d’assertions (…) dûment documentées » contestant « des informations erronées » mises en avant par la partie adverse dans le cadre des procédures en cours devant la justice. De son côté, de sources proches d'Attijariwafa bank, celle-ci campe sur ses positions, faisant valoir son interprétation de l'évaluation qu'elle a diligentée, soulignant ce faisant le facteur de risques inhérents à la validité des ressources engagées, aux garanties personnelles et aux hypothèques ainsi qu'aux procédures engagées par les réservataires.


« Le projet Casablanca Parc a été confronté à un problème majeur : des opportunités initialement accordées ont été bloquées par l’ancien directeur général en charge du risque », soutiennent les promoteurs, faisant référence à Talal El Bellaj, comme relaté dans le premier volet de notre enquête.


Une accusation de détournement réfutée

« Le premier coup porté a été l’accusation mensongère d’un prétendu détournement de fonds de 92,7 millions de dirhams (MDH), une allégation qui a gravement terni notre crédibilité. L’ancien directeur général en charge du risque, incapable de justifier cette accusation infondée, n'a jamais répondu à notre dernier écrit qui prouvait que cette accusation était fausse. À ce jour cette inertie persiste à notre encontre », réaffirment les promoteurs qui estiment que les arguments défendus par leurs contradicteurs « présentent une vision partielle de la situation à un instant T, alors qu’une compréhension globale est essentielle pour en saisir toute la portée ». 


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