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04.12.2024 à 19 H 36 • Mis à jour le 04.12.2024 à 19 H 36
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Nomination

Zouhair Chorfi nommé aux commandes de l’ANRE

Zouhair Chorfi a été nommé président de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité. Cette nomination, portée par le ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a été approuvée par le roi lors du Conseil des ministres tenu ce mercredi.


Né en 1956, Chorfi est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Université de Grenoble. Ayant débuté sa carrière en 1985 au sein de l’Inspection Générale des Finances, il a occupé au fil des années plusieurs postes de responsabilité, avant de rejoindre la Direction du Trésor et des Finances extérieures, dont il a été promu directeur en 2003.


En 2010, il a été nommé directeur général de l’Administration des douanes et impôts indirects (ADII), avant d'être nommé en 2017, secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et de la Réforme de l’Administration. Ensuite, de 2020 à 2021, il a occupé le poste de directeur du cabinet du ministre des Finances.


Le nouveau président de l'ANRE a également occupé plusieurs mandats au sein de plusieurs institutions : membre du Conseil de Bank Al-Maghrib, administrateur de l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), de la Banque centrale populaire, du Fonds d’équipement communal, de la Société Maroc Emirats arabes unis de développement, de la Banque arabe pour le développement de l’Afrique, président du Conseil de l’Organisation Mondiale des Douanes et membre de la Commission de Transfert des Entreprises Publiques.


Pour rappel, la réforme de la régulation sur le secteur de l'énergie et la refonte de l'ANRE pour la création de l'Autorité nationale de régulation de l'énergie figurent parmi les points mis en avant par le Fonds monétaire international (FMI) dans son rapport publié en novembre dernier, examinant les mesures de réforme exécutées par le Maroc dans le cadre de la facilité pour la résilience et la durabilité (RSF) et listant celles à accomplir au terme de la deuxième tranche du dispositif, d'une valeur de 415 millions de dollars (M $).


« Si plusieurs lois visant à libéraliser le marché de l'électricité ont été approuvées, leur mise en œuvre a été entravée par l'absence de réglementations requises », soulignait le FMI, dans son rapport, faisant référence à la régulation du secteur de l'électricité et la création de l'Autorité Nationale de Régulation de l'Energie (ANRE), à la production d'énergie renouvelable au secteur privé et à la loi relative à l'autoproduction d'électricité. Cette réforme prévoyait que le ministère de la Transition Energétique et du Développement Durable accélère l'adoption des textes réglementaires nécessaires à leur mise en œuvre.

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