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27.01.2017 à 14 H 45 • Mis à jour le 27.01.2017 à 14 H 45
Par
Affaire Samir

Boussaid affirme suivre de près le dossier de la raffinerie Samir

Mohamed Boussaid, ministre des finances. DAVID RODRIGUES / LE DESK
« Une équipe dédiée au suivi de cette affaire a été mise en place, sous la supervision de l’administration des douanes et des impôts indirectes (ADII) », a fait savoir le ministre de l'Economie et des Finances

L'Etat suit de près le dossier de la raffinerie Samir, a affirmé, vendredi à Rabat, le ministre de l’Economie et des finances, Mohamed Boussaid.


« Une équipe dédiée au suivi de cette affaire a été mise en place, sous la supervision de l’administration des douanes et des impôts indirectes (ADII) », a fait savoir Boussaid, lors d’une conférence de presse dédiée à la présentation des indicateurs macroéconomiques en 2016.


Toutefois, l’Etat « ne peut pas intervenir dans un dossier qui est entre les mains de la justice », a tenu à préciser le ministre.


Le juge commissaire de la liquidation de la Samir, a réuni le syndic et les contrôleurs pour un échange au sujet du lancement du processus de liquidation et du niveau de mise à prix qui doit être fixé.


Au cours de l’audience du 28 décembre 2016, le syndic avait affirmé avoir transmis une lettre d'intention signée par un cabinet d'avocats italien, soulignant l'intérêt d'un de ses clients pour acquérir l'ensemble du groupe Samir à 31 milliards de dirhams. Une information qui avait été par ailleurs démentie par le cabinet en question, selon L'Economiste.


L'unique raffineur du Maroc, la Samir, a été mis en liquidation définitive avec période de maintien temporaire d'activité de 6 mois.

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