LIFESTYLE Comment l’innovation dans la construction change le quotidien des Marocains
Comme ailleurs dans le monde, le Maroc fait face à une urbanisation galopante. Le phénomène a entraîné une forte croissance de la consommation de ressources telles que l'énergie et l'eau dans les villes.
Aussi, la construction durable est désormais essentielle pour conserver nos ressources, améliorer la qualité de notre habitat. Les pratiques de construction qui emploient des techniques et des matériaux adaptés aux conditions climatiques et luttent pour la durabilité sont la nécessité du moment.
La construction durable n'est pas un nouveau concept pour le Maroc. Les bâtiments marocains traditionnels ont été conçus en fonction des conditions climatiques locales. En montagne, les toits en pente des chalets d’Ifrane permettent l’écoulement des pluies et l’eau résultant de la fonte des neiges, les cours intérieures ouvertes dans les riads permettent la ventilation et l’ensoleillement de manière optimale. Dans le grand sud, l’originalité des kasbahs en pisé permet de conserver la chaleur durant les rudes hivers, et la fraîcheur pendant l’été.
Cependant, au cours des dernières décennies, de nombreuses pratiques universelles et de nouvelles tendances de conception sont en vogue au Maroc, tandis que les pratiques traditionnelles ont lentement régressé. Alors que les pratiques mondiales permettent la construction de hauts plateaux, essentiels pour répondre à notre densité urbaine extrêmement élevée, beaucoup d'entre elles ne sont pas bien adaptés aux conditions météorologiques. Le principal exemple est l'utilisation excessive de façades en verre, un mauvais choix de matériau dans les conditions météorologiques à température hausse puisqu'il piège la chaleur. Cela conduit à une consommation d'énergie plus élevée pour garder les températures confortables. Les pratiques et les tendances mondiales doivent être mieux adaptées au climat local.
Avec une volonté croissante de durabilité à travers le monde, de nombreuses entreprises innovent dans la construction pour rendre leurs bâtiments plus durables et plus respectueux de l'environnement. Parmi elles, BASF veut contribuer à un monde qui offre un avenir viable avec une qualité de vie améliorée pour tous.
Les pratiques de construction intelligente vont au-delà de la réduction de la consommation d'énergie pour le refroidissement. La durabilité et l'utilisation de ressources, facilement accessibles et réagissent bien à l'état de l'environnement de la région, en sont les autres aspects importants.
Plusieurs techniques de pointe sont utilisées dans les nouvelles constructions pour palier aux besoins croissants des espaces disponibles pour les populations tout en respectant au mieux notre environnement. Le béton à haute résistance, permet par exemple une résistance accrue aux intempéries et à l’usure du temps.
Face à l’urgence à laquelle le Maroc est confrontée pour satisfaire les besoins d’une population en plein essor, le recours à des matériaux solides adaptés à des délais de construction rapides comme le béton dynamique intelligent devient incontournable pour les projets de logements de masse.
Mais les défis concernent aussi l’étanchéité afin d’éviter les redoutables effets des infiltrations sur la qualité des habitats ou encore l’isolation dont l’efficacité permet de réduire les besoins en énergie pour le chauffage en hiver et le refroidissement durant les périodes estivales.
Les technologies de construction durable, utilisant des processus plus rapides et plus sûrs qui réduisent la consommation d'énergie et augmentent la productivité, peuvent jouer un rôle important dans la détermination de l'avenir de nos villes. Avec des produits comme MasterGlenium, et le système d'étanchéité MasterSeal, BASF innove pour répondre à ces besoins précis pour répondre aux exigences de protection de l’environnement.
A tire d’exemple à souligner, BASF a introduit sur le marché de la construction des panneaux sandwich fabriqués selon l’approche « mass balance ». Le principe « mass balance » est comparable à celui de l’électricité verte. L’idée de base consiste pour BASF à utiliser des ressources renouvelables, comme du biogaz ou du bio-naphta, en complément de ressources fossiles au niveau de ses vapocraqueurs, en fonction des demandes en produits biosourcés des clients. En résumé, le produit final ne dispose pas d’un contenu biosourcé mesurable par la technique du carbone 14. En revanche au global pour le groupe BASF, chaque achat de produits selon le principe mass balance entraîne bien la substitution de quantités de ressources fossiles par des équivalents renouvelables.
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