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14.04.2018 à 22 H 10 • Mis à jour le 14.04.2018 à 22 H 10 • Temps de lecture : 11 minutes
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n°294.Syrie: contre les armes chimiques, un volontarisme international tardif

L’opération lancée samedi matin ne changera sans doute pas le cours d’une guerre qui a déja fait 350 000 morts. Et elle ne fera pas oublier que Washington et Moscou étaient depuis 2013 signataires d’un accord qui interdisait à Damas de détenir et utiliser des gaz de combat

La France, les États-Unis et le Royaume-Uni ont lancé, samedi avant l’aube, une série de frappes contre la Syrie. Les cibles des missiles de croisière et missiles air-sol tirés par les avions de combat et les navires des trois pays étaient toutes liées, selon Paris, Washington et Londres, au complexe militaro-industriel produisant les armes chimiques utilisées depuis plusieurs années par le régime de Damas. Et employées une nouvelle fois, le 7 avril, contre la localité de Douma, près de Damas, faisant une cinquantaine de morts et près de 500 blessés.


Selon le ministère français de la défense, les objectifs des frappes françaises, lancées à distance par trois frégates en Méditerranée, cinq Rafale et trois Mirage 2000, étaient « deux sites dans la région de Homs, l’un dédié au stockage et l’autre à la production d’armes chimiques ». L’objectif des quatre chasseurs-bombardiers Tornado engagés par la Royal Air Force britannique était un « complexe militaire » près de Homs. Quant aux missiles de croisière Tomahawk tirés par les avions et les navires américains, ils visaient une cible près de Damas et deux autres dans la région de Homs.


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