S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
01.03.2018 à 10 H 14 • Mis à jour le 01.03.2018 à 17 H 21 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Médias

Al Bayane récuse des accusations de harcèlement sexuel visant un de ses cadres

Le directeur administratif et financier (DAF) de la société éditrice des journaux Al Bayane et Bayane Al Yaoum est accusé de « harcèlement » par une employée de l'entreprise. La victime présumée a déposé une plainte, tandis que la direction des publications affirme que la salariée en question est en litige avec son entreprise et que l’affaire, toujours en cours, a été portée devant la justice, toujours en cours.


Dans un communiqué publié au soir du 28 février, se disant « surpris » Al Bayane riposte en demandant de « présenter des preuves, car le harcèlement s'est transformé en une mode (...), le but étant de profiter de l'occasion et d'inventer des faits qui n'existent que dans l'imagination de la personne qui les formule », peut-on lire dans le communiqué.


Le communiqué accuse la plaignante de vouloir « profiter du contexte actuel ». marqué par l'affaire de Taoufik Bouachrine. « En accusant le directeur administratif et financier de la société, il semble que la plaignante veut exploiter un contexte donné et récupérer un sujet qui domine actuellement le champ médiatique et judiciaire national. Aussi, par son comportement, cette personne porte atteinte non seulement à l’individu qu’elle souhaite faire inculper, mais également à l’institution dans sa globalité et à l’instance politique à laquelle elle est affiliée. Fait inacceptable sur lequel nous ne nous tairons pas », écrit le Conseil de direction du média, organe officiel du Parti du progrès et du socialisme (PPS), qui entend bien poursuivre l’accusatrice afin de « défendre sa réputation ».

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite
Par
Revenir au direct