S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
27.07.2018 à 11 H 30 • Mis à jour le 27.07.2018 à 11 H 30 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Coopération

La Chine promet près de 15 MM$ d’investissements à l’Afrique du Sud

La Chine s'est engagée à investir 14,7 milliards de dollars en Afrique du Sud et à accorder des prêts à sa compagnie nationale d'électricité et de logistique alors que les deux pays cherchent à renforcer leurs liens économiques et à accroître leurs échanges commerciaux, rapporte Bloomberg. Le rand, la monnaie nationale sud-africaine s’est mécaniquement appréciée à l’annonce.


L'engagement fait suite à des promesses similaires de l'Arabie saoudite et des Etats-Unis en soutien à la campagne du président Cyril Ramaphosa pour attirer 100 milliards de dollars d'investissements en Afrique du Sud au cours des cinq prochaines années, alors qu'il cherche à stimuler une économie en perte de vitesse avant les élections de l'année prochaine.


Les promesses d'investissement et les prêts, les plus importants annoncés jusqu’ici par la Chine à l'Afrique du Sud, ont été rendus publics à Pretoria après une rencontre entre Ramaphosa et son homologue chinois, Xi Jinping.


Parmi les accords les plus en vue, Eskom Holdings SOC Ltd., une société de distribution d'électricité à court d'argent, a obtenu une facilité de prêt à long terme de 2,5 milliards de dollars auprès de la China Development Bank, ce qui lui permet de couvrir près des deux tiers de ses besoins cette année.


Le président chinois était en visite officielle en Afrique du Sud avant le 10ème sommet des pays BRICS - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - tenu à Johannesburg. La Chine est le plus grand partenaire commercial de l'Afrique du Sud.

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite
Par
Revenir au direct