S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
01.03.2017 à 14 H 34 • Mis à jour le 01.03.2017 à 14 H 34 • Temps de lecture : 1 minutes
Par

Le ministère de l’Agriculture juge « très satisfaisant » l’état sanitaire du cheptel national

Le ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime a jugé "très satisfaisant" l'état sanitaire du cheptel national et "très bon" l’état actuel de développement de la biomasse végétale, ce qui laisse présager une production fourragère abondante qui devra permettre la couverture des besoins du cheptel national. A ce stade, l’état des parcours, des jachères et des cultures fourragères au niveau national est jugé "très satisfaisant", ce qui se traduirait par le maintien des prix des aliments de bétail à des niveaux normaux, fait savoir le ministère dans un communiqué. Il y a lieu de rappeler par ailleurs, que le programme de gestion des effets du déficit pluviométrique de la campagne précédente, mis en place en février 2016, a permis la sauvegarde et la préservation des ressources animales, à travers l'approvisionnement du bétail en orge et en aliments composés subventionnés, pour des quantités de 7,5 millions et 0,4 million de quintaux respectivement, l’aménagement et la construction de 626 points d’eau ainsi que l’acquisition de près de 2.600 citernes plastiques et tractées pour l’abreuvement du cheptel. Elle a été également réalisable à travers la protection sanitaire du cheptel, à travers la vaccination contre les entérotoxémies et le traitement contre les maladies parasitaires internes et externes de près de 15 millions de têtes d’ovins et de caprins, ainsi que le traitement de 180 000 têtes de camelins contre les parasitoses internes et externes, indique la même source.

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Revenir au direct