Quand Tebboune compare les usines Renault de Tanger et d’Oran
Dans une interview donnée au Figaro, le président algérien, Abdemadjid Tebboune, s’est une nouvelle fois attaqué à « l’importation débridée », décrypte TSA. « L’Algérie est vue par ses partenaires comme un grand marché de consommation. Nos maux viennent de l’importation débridée, génératrice de surfacturation, une des sources de la corruption favorisée par de nombreux pays européens où se faisait la bancarisation, la surfacturation, les investissements de l’argent transféré illicitement. Cela a tué la production nationale.
« Nous allons par exemple arrêter l’importation de kits automobiles. L’usine Renault qui est ici (à Oran, ndlr) n’a rien à voir avec celle qui est installée au Maroc. Comment créer des emplois alors qu’il n’y a aucune intégration, aucune sous-traitance ? », a-t-il déclaré, accusant un « lobby » qui a des « accointances économiques » et qui veut endiguer l’Algérie…
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