S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
18.02.2017 à 08 H 27 • Mis à jour le 18.02.2017 à 08 H 27 • Temps de lecture : 1 minutes
Par

Trump traite les grands médias « d’ennemis des Américains »

Donald Trump a de nouveau éreinté les médias vendredi, qualifiant de grandes chaînes de télévision et le New York Times "d'ennemis des Américains" sur Twitter. Peu après avoir atterri en Floride, où il s'apprête à passer un troisième week-end de suite dans sa luxueuse résidence de Mar-a-Lago, le président américain s'est saisi de sa plateforme de communication préférée pour un message visant l'une de ses cibles favorites : les médias. "Les MEDIAS MENSONGERS (@nytimes en difficulté, @NBCNews, @ABC, @CBS, @CNN) ne sont pas mes ennemis, ce sont les ennemis des Américains", a-t-il écrit, reprenant l'expression en anglais "fake news media" qu'il a fait entrer dans le langage courant aux Etats-Unis à force de la marteler. Quelques minutes plus tôt, le président américain avait tweeté une première version de son message dans laquelle il ne citait pas les chaînes CBS et ABC et ponctué d'un "ECOEURANT !". Il l'a rapidement effacé avant de poster un nouveau tweet incluant les deux "ennemis" supplémentaires. Il n'est pas rare pour les présidents américains de critiquer les médias, mais la virulence des attaques répétées de Donald Trump est sans précédent. Le républicain avait fait des critiques envers les journalistes "partiaux" et "malhonnêtes" un point central de sa campagne, régalant ses supporteurs qui huaient copieusement les journalistes lors de grands rassemblements. Le milliardaire républicain avait déjà tancé jeudi les journalistes pendant une conférence de presse à la Maison Blanche.

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Revenir au direct