Le Desk évolue pour ses lecteurs et passe en «freemium»

Après huit mois d’existence, Le Desk a réussi un triple pari, celui de la qualité, celui de la singularité de son offre éditoriale et celui de l’indépendance.

Chers lecteurs,

Après huit mois d’existence, Le Desk a réussi un triple pari, celui de la qualité, celui de la singularité de son offre éditoriale et celui de l’indépendance.

Il s’est rapidement imposé comme référence dans un paysage médiatique dominé par l’abondance de contenus gratuits sur lnternet, mais de qualité inégale, produits essentiellement dans une quête effrénée de l’audience et tirant ses seules ressources de la publicité. Un modèle destructeur de la valeur journalistique au profit du buzz.

A l’inverse, le modèle expérimental du Desk a pour la première fois dans cette région du monde, introduit le principe de l’abonnement. A ce jour, ses résultats sont encourageants, mais non suffisants pour le viabiliser et le pérenniser économiquement à court terme.

Nous sommes toujours persuadés qu’il faut persévérer dans cette voie, tout en donnant toutes les chances à notre entreprise de continuer à exister et à se développer.

Journalisme d’investigation, enquêtes et informations exclusives, écriture originale et adaptée au web, les efforts à consentir pour apporter cette valeur ajoutée, indispensable au bon fonctionnement d’un système politique démocratique, pluriel et critique, sont très coûteux.

C’est pourquoi, nous avons fait le choix, après mure réflexion, d’opter pour un équilibre combinant une offre gratuite et une offre payante. Cette offre « freemium », introduisant raisonnablement la publicité est celle adoptée par de grands médias à travers le monde, à l’instar du New York Times ou du Monde.

Pour ce faire, nous avons décidé d’enrichir davantage notre offre éditoriale, réservant nos contenus les plus significatifs à nos abonnés dans une édition qui leur sera toujours réservée.

C’est l’ambition affichée par la nouvelle formule du Desk.

Bonne lecture,

L’équipe du Desk

Le Desk