S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
11.05.2017 à 01 H 04 • Mis à jour le 11.05.2017 à 01 H 04 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Nations Unies

Attaque de la Minusca: le Conseil de sécurité solidaire du Maroc

Le Conseil de sécurité de l'ONU a exprimé mercredi sa sympathie avec le Maroc suite à l’attaque armée perpétrée lundi contre un convoi de la mission onusienne en République centrafricaine (Minusca), qui a fait quatre morts et dix blessés, dont neuf marocains, alors qu’un casque bleu marocain est toujours porté disparu.

"Les membres du Conseil expriment (…) leur profonde sympathie avec les familles des soldats de la paix blessés, et du casque bleu disparu, ainsi qu’avec (…) le Royaume du Maroc et la Minusca", indique un communiqué de l’instance exécutive de l’ONU.

Ils ont souhaité prompt rétablissement aux blessés, et exhorté les autorités centrafricaines à “poursuivre la recherche du casque bleu porté disparu de la Minusca”.

Le Conseil a condamné “dans les termes les plus fermes l’attaque contre la Minusca par des éléments soupçonnés d’anti-Balaka", réitérant que les attaques contre les soldats de maintien de la paix peuvent s’apparenter à des “crimes de guerre”. Ils ont aussi rappelé les parties de leurs obligations en vertu du droit international humanitaire.

Les membres du Conseil ont également demandé au gouvernement centrafricain “d'enquêter rapidement sur cette attaque et de traduire les auteurs en justice”.

Ils ont, par ailleurs, réitéré leur soutien total à la Minusca, et leur “ferme soutien” au Représentant spécial de l’Onu pour la République centrafricaine, Parfait Onanga-Anyanga et à la mission onusienne pour aider les autorités et le peuple de la République centrafricaine dans leurs efforts pour une paix et une stabilité durables dans le pays

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite
Par
Revenir au direct