S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
19.01.2021 à 00 H 14 • Mis à jour le 19.01.2021 à 10 H 19 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Minusca

Centrafrique: deux Casques bleus tués, dont un soldat Marocain

Deux Casques bleus, un Marocain et un Gabonais ont été tués par des rebelles lundi en Centrafrique, à 17 kilomètres de la ville de Bangassou au sud du pays. Cette attaque qui intervient suite à l’embuscade de leur convoi par des éléments des groupes armés coalisés, porte à 7 le nombre de morts parmi le contingent de la mission de l’ONU (MINUSCA) depuis le début de l’offensive des rebelles contre le régime du président Faustin Archange Touadéra, réélu officiellement dans la journée, a annoncé l’ONU.


« La MINUSCA a payé un lourd tribut avec sept Casques bleus tombés au service de la paix, depuis le lancement des attaques coordonnées et simultanées par les anti-Balaka, le 3R, le MPC et l’UPC, alliés à l’ancien président François Bozizé. Mais elle reste engagée à poursuivre son mandat de protection des populations civiles et de sécurisation des élections », a assuré dans le communiqué Mankeur Ndiaye, le représentant spécial de l’ONU en Centrafrique. Il a par ailleurs rendu hommage aux Casques bleus disparus et présenté ses condoléances aux familles endeuillées, aux contingents marocain et gabonais ainsi qu’au Gouvernement du Gabon et au Royaume du Maroc, poursuit le communiqué.


Actuellement plus de 2 145 soldats et policiers marocains sont actuellement déployés dans les missions de l’ONU en République centrafricaine, en RDC et au Soudan du Sud, faisant du Maroc le 12ème pays contributeur de troupes et de personnel de police aux opérations de maintien de la paix de l’ONU.

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite
Par
Revenir au direct