The Dark Side of David Beckham
David Beckham s’est longtemps refusé à alimenter le fonds humanitaire dont il est censé être le premier et principal contributeur. Il a même tenté de se faire rembourser par l’Unicef des frais qu’il n’avait pas engagés. Pour la star britannique, la cause humanitaire est avant tout un tremplin pour ses affaires personnelles. Les Football Leaks révèlent le visage méconnu d’une star qui rêve d’être anoblie, mais à qui on refuse le titre en raison de ses démêlés fiscaux, explique Mediapart qui publie les révélations de Football Leaks dans une enquête explosive sur le footballeur. Ambassadeur de l'Unicef depuis 2005, David Beckham détenteur d’un fonds à son nom (Fonds 7) évite à tout prix d'y contribuer, « Je n'ai pas envie de verser mon argent personnel pour cette cause », écrit-il un jour à son ami Simon Oliveira, directeur opérationnel de l'agence Doyen Global. Ce dernier lui suggère alors de participer à un dîner de bienfaisance au Congo ou à une remise de prix à Shanghaï, rétribués un million de dollars. Puis de verser cet argent sur le fonds. Réponse de la star : « Verser ce million sur le fonds, c'est comme mettre mon propre argent. S'il n'y avait pas ce fonds, l'argent serait pour moi. Ce putain d'argent est à moi. » Lorsque les sponsors de David Beckham l'envoient en Asie, David Beckham réalise une mission pour l'Unicef au Cambodge. Sa société DBV envoie alors une facture de 8 000 euros à l'organisation internationale concernant un billet d'avion qu'il n'a pas payé, puisqu'il s'est déplacé dans un jet affrété par ses sponsors. Surprise, l'Unicef refuse : « Il a voyagé en jet privé et le Fonds n'a pas à payer pour un billet qu'il n'a pas pris. ». Depuis juillet 2014, il passe par la société Ingenious Media, qui investit dans des films comme Avatar ou Die Hard 4, pour payer moins d’impôts.... Selon Mediapart, les Beckham ont refusé l'accord financier proposé pour purger ce conflit…
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