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25.12.2022 à 15 H 11 • Mis à jour le 25.12.2022 à 15 H 11 • Temps de lecture : 1 minutes
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Diffamation

La FRMF prend la défense d’Aboukhlal accusé de « salafiste infiltré »

La Fédération royale marocaine de football (FRMF) a protesté ce dimanche « de manière énergique » contre le média numérique habitué aux controverses Achkayn qui a accusé le footballeur Zakaria Aboukhlal d'être un « salafiste ayant infiltré l'équipe nationale pour embrigader les joueurs à sa cause », lors sa participation à la Coupe du monde de football au Qatar. L’instance footballistique dirigée par Fouzi Lekjaâ a souligné qu'elle recourra à des « mesures légales ».


Dans son communiqué, la FRMF a « absolument » démenti ces allégations, qu'elle a qualifiées de « fausses », et insisté sur le comportement « exemplaire » du joueur et de ses coéquipiers « pour obtenir des résultats honorables dans ce championnat du monde ».


La FRMF exprime ainsi « sa ferme condamnation des atteintes portées par ce site à la personne et au comportement du joueur Zakaria Aboukhlal et à travers lui, à l’image de l’équipe nationale avec toutes ses composantes » et déclare qu’elle « aura recours à des mesures légales pour protéger les membres de l’équipe nationale de football et réfuter toutes les fausses allégations affectant leur comportement ou leur vie personnelle dans l’exercice de leurs fonctions nationales ».


L’article mettant en cause l’attaquant de 22 ans qui évolue au club français Toulouse FC et ayant brillé à au Qatar après avoir marqué le deuxième but contre la Belgique en phase de groupes est devenu viral sur les réseaux sociaux, à l’appui d’images montrant Aboukhlal menant une prière de groupe ou en compagnie d’un imam dans une mosquée pour prétendre à son « prosélytisme ».


Durant le Mondial, la chaîne de télévision privée allemande Welt avait porté les mêmes accusations contre Aboukhlal, mais aussi à l’endroit d’Abdelhamid Sabiri et Ilias Chair pour le simple fait qu’ils aient pointé leur index droit vers le ciel en signe de victoire. Une gestuelle que ce média avait vite fait d’associer à un rituel jihadiste de l’Etat islamique avant de se rétracter et présenter ses excuses aux footballeurs diffamés.

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