Poussière noire à Kénitra: la centrale thermique appelée à réduire ses émissions

Le ministère de la Transition énergétique et du développement durable a indiqué que le Laboratoire national des études et de surveillance de la pollution (LNESP) avait fait appel à l’unité mobile afin de surveiller la qualité de l’air à Kénitra après l'observation de poussière noire persistante dans l'air.
Pour cela, des équipements de mesure ont été spécialement déployés pour observer cette poussière noire, et ce, en vue d’effectuer des analyses supplémentaires dans les différents sites de la ville susceptibles d’être polluées par cette poussière.
Dans un communiqué rendu public, le ministère a indiqué que cette unité visait à élaborer un rapport technique qui sera présenté par la commission provinciale pour lui permettre de prendre des décisions et des procédures nécessaires conformément aux dispositions en vigueur.
Rassurant, le ministère a également relevé que l'indice de la qualité de l'air avait été classé en général "bon" et "très bon" au cours des dix premiers mois de l'année selon les résultats d'évaluation de la qualité de l'air au titre de l'année 2021 à Kénitra.
La même source a assuré que le carburant utilisé par la centrale thermique de Kénitra était conforme aux normes nationales et que le processus de combustion était régulièrement contrôlé dans le but de réduire le volume des émissions.
Faisant le lien entre la pollution atmosphérique par ces particules et l'activité de la centrale, il a été conclu dans le communiqué que l’ONEE avait été appelée à prendre l’ensemble des procédures pour réduire le volume des émissions de cette centrale dans le cadre de la matérialisation de la Stratégie nationale de la transition énergétique.
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