S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
06.01.2024 à 17 H 02 • Mis à jour le 06.01.2024 à 17 H 02 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Criminalité

Un cyber-fraudeur marocain risque 3 ans de prison en Espagne pour escroquerie

Un cyber-escroc de nationalité marocaine, sans casier judiciaire, fait face à une demande du parquet espagnol visant à le condamner à trois ans de prison pour appartenance présumée à une organisation ayant établi « un réseau complexe d'échange de données ». Le prévenu est accusé notamment du vol de près de 900 euros après avoir obtenu les mots de passe d'une femme résidant à Grenade en usurpant l'identité du site web d'une compagnie d'électricité, se faisant passer pour son agent autorisé.


L’individu est reconnu d’avoir monté un stratagème en janvier 2022 invitant des personnes vulnérables à se connecter à une fausse page internet de la compagnie d’électricité espagnole dans le but de leur soutirer leurs données personnelles téléphoniques et bancaires.


Prétextant vouloir rembourser une de ses victimes d’un excédent de charges, l’escroc a effectué une opération de débit via sa carte bancaire pour l’achat d’un smartphone qu’il s’est fait livrer à son domicile de Cadix.


Faisant partie d’un réseau de fraudeurs, l’accusé a participé à d'autres « opérations de débit à partir de lieux situés au Maroc », « impossibles à retracer a posteriori » et nécessitant « des artifices informatiques non consentis par le propriétaire ».


Les faits, qui impliquent pour le procureur la commission présumée de délits d'escroquerie, de recel et de blanchiment d'argent, et la participation à un groupe criminel organisé, devraient être jugés le 11 janvier devant la deuxième chambre du Tribunal provincial de Grenade.

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Revenir au direct