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28.12.2015 à 16 H 45 • Mis à jour le 29.12.2015 à 10 H 59
Par
ANALYSE

Le Hezbollah lâché par les islamistes marocains

Le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah en 2013. BILAL HUSSEIN /AP
L’assassinat de Samir Kantar, grande figure de la résistance contre Israël et réputé proche du Hezbollah, n’a suscité aucun émoi chez les mouvements islamistes marocains. Il était pourtant considéré par les islamistes du royaume comme une icône de la résistance aux forces d’occupation au Golan, en Palestine et au Liban. Les raisons d’une volte-face.

Tombée sous le feu d’un raid Israélien en Syrie samedi 19 décembre, l’assassinat de Samir Kantar, grande figure de la résistance libanaise proche du Hezbollah, n’a suscité aucun émoi au Maroc. Chez les mouvements islamistes, c’est silence radio. Aucune lettre de condoléances, ni de mots de protestation ou de solidarité n’ont été émis.

Kantar n’a pas été qualifié de martyr par le PJD

Le site officiel du PJD s’est contenté de reprendre un article du portail Aljazeera.net, porte voix de la propagande des factions islamistes en Syrie. Un article qui pose simplement la question de savoir si cette opération a été coordonnée entre Israël et la Russie, sans qualifier Kantar de martyr, comme ce qui est d’usage dans ce genre d’opérations d’élimination de figures de la résistance.


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