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02.02.2016 à 14 H 57 • Mis à jour le 02.02.2016 à 14 H 57
Par
GITMO

Affaire Chekkouri : Washington contraint de divulguer son deal passé avec le Maroc

Younès Abderrahmane Chekkouri, ex-prisonnier de Guantanamo. FACEBOOK
Livré au royaume en septembre dernier, Younes Chekkouri, ex- Gitmo, qui croupit en prison, a été lâché par les Américains qui se cachent derrière des arguments sécuritaires. Ses avocats ont obtenu une victoire contre Washington.

La revue américaine des juristes Courthouse News Service , est revenue sur le cas de Younès Abderrahmane Chekkouri, dont l’affaire va connaître de nouveaux rebondissements. Pour rappel, le 17 septembre 2015, le Pentagone avait annoncé sa décision de le rapatrier au Maroc après 14 ans d’incarcération, sans chef d’inculpation, à la prison de Guantanamo. Mais, une fois arrivé au royaume, il a été mis en garde à vue par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) et croupit, depuis, en prison, toujours sans chef d’accusation précis. L’association britannique Reprieve, très active dans la défense des droits et des libertés, a demandé au département de la justice de lever le voile sur l’accord que le gouvernement américain aurait conclu avec le Maroc concernant le cas de Chekkouri, pourtant considéré comme « non dangereux » outre-Atlantique. L’avocate Cori Crider, qui a défendu plusieurs détenus de Guantanamo dont Chekkouri, accuse les deux pays de mensonge puisque Chekkouri était supposé être libéré après 72 heures de détention après son retour Maroc. Pourtant, les Américains l’ont laissé à son sort. « L'approche du gouvernement pour le cas de Chekkouri déshonore les Etats-Unis », a déclaré Cori Crider.

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