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01.03.2016 à 21 H 50 • Mis à jour le 02.03.2016 à 01 H 09
Par
Interview

Ismail Douiri : « La levée des subventions sur le carburant a affecté les crédits à l’économie »

Ismail Douiri, directeur général et monsieur finances du groupe Attijariwafa Bank. DAVID RODRIGUES / LE DESK
Impacté par le phénomène de décélération du rythme des crédits, l'explosion des impayés, et la montée des risques en Afrique subsaharienne, Attijariwafa Bank a accusé, pour une première dans son histoire, une baisse de ses revenus annuels. Son directeur général Ismail Douiri s’explique.

Dans l'univers des cols blancs, la baisse des revenus d'Attijariwafa Bank en 2015 a été une grande surprise. Depuis sa naissance en 2003, le groupe appartenant au holding royal SNI n'a jamais enregistré une baisse de son produit net bancaire. Un effet comptable expliquent les managers de la banque, un essoufflement qui ne dit pas encore son nom, lancent d'autres analystes. Cette chute surprise coincide aussi avec un nouveau phénomème relevé dans l'économie marocaine : la décélération du rythme de distribution des crédits, qui paradoxalement, intervient au moment où les caisses des banques se sont nettement renflouées ces deux dernières années. Rencontré mardi 1er mars après la conférence des résultats du groupe, Ismail Douiri, 46 ans, directeur général de la banque et son monsieur finances, répond aux questions du Desk. 


Le produit net bancaire d’Attijariwafa bank a accusé une baisse de 2,3 % en 2015. C’est une première depuis la naissance du groupe en 2003. Comment expliquez vous cette chute des revenus ?

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