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08.03.2016 à 21 H 13 • Mis à jour le 09.03.2016 à 23 H 12
Par
Marché de l'art

Le litige au long cours autour de la « Marocaine allongée »

Marocaine allongée, Aquarelle sur papier Signée en bas à gauche 50 x 65 cm, attribuée en 2006 à Zinaïda Serebriakova. CMOOA
Une aquarelle orientaliste attribuée à l’artiste Zinaïda Serebriakova vendue en 2007 par la CMOOA à un collectionneur russe s’est avérée être un faux. La justice française a tranché l’affaire en 2014, mais les sommes engagées par l'acheteur ne lui ont toujours pas été restituées.

Au Maroc, rares sont les amateurs de représentations orientalistes à connaitre Zinaïda Evguenievna Serebriakova, née en Ukraine en 1884 et morte à Paris en 1967. Elle fut pourtant la première femme russe à être reconnue comme peintre majeure.


Zina, comme l’appelaient ses intimes, a quitté l’Union soviétique en 1924, ruinée par la révolution bolchévique. A cette époque, elle est mère de quatre enfants, a déjà enterré son époux victime du typhus, et peint le plus célèbre de ses autoportraits. Elle trouve refuge à Paris, sa seconde patrie, ayant une ascendance au sein d’une vieille famille française. Là-bas l’attend une période sombre et difficile qu’elle traverse dans la misère. Pour survivre, elle peint des portraits sur commande.

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