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08.03.2016 à 15 H 55 • Mis à jour le 09.03.2016 à 12 H 14
Par
Business

Pourquoi la candidature de Bolloré à la COP 22 inquiète le Maroc

Vincent Bolloré, PDG du groupe éponyme. Il s’est investi personnellement dans la candidature de Havas Event, filiale du groupe à l’organisation de la COP 22 à Marrakech. MARLENE AWAAD / BLOOMBERG
En lice pour remporter le contrat d’organisation de la COP 22 de Marrakech, l’homme d’affaires breton est rattrapé par un scandale écologique lié à ses activités d’huile de palme en Afrique, qualifiées par Greenpeace dans un récent rapport de « dévastatrices pour les forêts ». En cas de victoire de son groupement mené par Havas Event, le Maroc risque d’avoir tous les écolos du monde sur le dos. Décryptage.

« Si jamais l’agence de Bolloré gagne l’organisation de la COP 22, ce sera la catastrophe. On aura Greenpeace et tous les écolos du monde sur le dos et ça risque de nuire à l’évènement et à l’image du Maroc ». Voilà ce que nous dit une personne haut placée qui suit de près l’organisation de la conférence climatique qui aura lieu à Marrakech en novembre. Entré dans la course pour remporter le contrat d’aménagement et de gestion du site de la COP 22, Vincent Bolloré qui fait tandem via sa filiale Havas Event avec l’agence marocaine Avant-Scène de Myriam Abikzer, est secoué depuis quelques semaines par un gros scandale écologique en Afrique.


Bolloré est candidat à l'organisation de la COP 22 à travers sa filiale Havas Event. Celle-ci fait tandem avec l’agence marocaine Avant-Scène, dirigée par Myriam Abikzer. JEAN-LOUIS COURLEUX


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