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18.04.2016 à 16 H 54 • Mis à jour le 18.04.2016 à 16 H 54
Par
International

Que reprochent les Brésiliens à la présidente Dilma Rousseff ?

Secouée par une chaîne de scandales, la présidente du Brésil risque de sortir par la petite porte.
Ce que craignait la présidente du Brésil, Dilma Rousseff est arrivé. Les deux tiers des députés ont approuvé dimanche 17 avril l’ouverture du processus de destitution à son encontre, elle, qui est entrée par la grande porte risquerait de ne pas finir son mandat et de sortir par la toute petite porte. La décision finale est désormais entre les mains des sénateurs qui valideront ou non cette procédure en mai. Reconstitution des faits en quatre actes.

Acte I : Un « crime de responsabilité » en matière budgétaire

Son « crime » daterait de 2014. Plus connu sous le nom de « crime de responsabilité », il est l’un des motifs de destitution prévus par l’article 85 de la Constitution brésilienne. L’opposition accuse en effet la présidente du Brésil Dilma Rousseff d’avoir volontairement dissimulé l’ampleur des déficits publics. Comment ? En les maquillant en prêts contractés auprès de banques publiques en 2014, année de sa réélection à la tête du pays. Un emprunt à hauteur de 10 milliards d’euros qu’elle aurait orchestré selon l’opposition pour régler les dépenses du gouvernement. Un emprunt qui n’est apparu officiellement qu’un an après, en 2015.

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