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28.04.2016 à 13 H 08 • Mis à jour le 28.04.2016 à 13 H 09
Par
Interview

FMI : La fluctuation du dirham, vers l’intégration du Maroc à la mondialisation

Abdellatif Jouahri , wali de Bank Al Maghrib. DAVID RODRIGUES / LE DESK
Le Maroc, épaulé stratégiquement et techniquement par le FMI, prépare son entrée dans un processus de fluctuation de sa monnaie. Ce nouveau régime, sujet obscur pour les non-initiés de la macro-économie, doit pourtant permettre de libérer les bénéfices de l’intégration du Maroc dans l’économie mondiale: exporter à des prix plus compétitifs, amortir les chocs extérieurs, diversifier ses partenaires commerciaux. Nicolas Blancher, conseiller du FMI au département Moyen-Orient-Asie Centrale en donne sa parole. 

Alors que les autorités monétaires du Maroc arrêteront en mai le timing et les modalités d’une introduction à un régime de change plus flexible, avec l’appui d’une délégation du FMI, nombreux s’interrogent sur l’opportunité d’un tel bouleversement sur la devise.


Il faut avant tout comprendre de quoi il s'agît. Comme l'a exposé Abdellatif Jouahri, le wali de Bank Al Maghrib à Bloomberg dans une interview la semaine dernière, il est question d'ouvrir progressivement les bandes de fluctuation du dirham autour du dollar et de l'euro, pour que dans quelques années, le dirham évolue librement sur le marché des changes. Contrairement à l'intuition commune, il n'est pas encore question d'ouvrir complètement le compte de capital et permettre notamment la libre convertibilité du dirham.


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