S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
20.05.2016 à 18 H 26 • Mis à jour le 20.05.2016 à 18 H 33
Par
Polémique

Les gamers marocains déconnectés du reste du monde

Après la vague de protestation contre le blocage de la VoIP, Maroc Télécom subit une nouvelle salve sur les réseaux sociaux à cause du blocage des plateformes de jeux en ligne.
Depuis deux jours, les gamers marocains ne peuvent plus jouer en ligne. Un blocage qu’ils expliquent par la volonté de l’opérateur historique Maroc Télécom de leur bloquer l’accès à ces plateformes, où on peut jouer, mais aussi communiquer en toute discrétion avec le reste du monde. Explications.

Depuis mercredi 18 mai, une nouvelle vague de protestation à l’encontre de Maroc Télécom est lancée. Cette fois-ci, c’est autour des gamers de se plaindre d’un blocage par rapport aux jeux vidéo en ligne. « Depuis hier je n’arrive plus à me connecter pour jouer, ça me refoule de la partie et je reçois un message d’erreur alors que internet marche normalement. Finalement, on a découvert qu’on avait plus accès aux serveurs  », s’étonne Abdellatif Bechar, un membre actif de la communauté des gamers au Maroc. Les joueurs ont donc compris que ce n’est pas un problème d’internet, mais ça concerne principalement les jeux en ligne.  

« Ça vient de l’opérateur »

Il faut savoir, avant tout, que depuis quelques années, les studios ont basculé vers les jeux en ligne en profitant de l’expansion d’internet pour faire enfler la rivalité entre joueurs. Autrement dit, un marocain peut affronter un japonais pour une partie de Street Fighters, Counter Strike ou encore Fifa alors qu’ils ne se connaissent même pas.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.