Politique
Abou Hafs à l’Istiqlal, dernier acte d’une politique risquée de cooptation des salafistes
d’Abdelouahab Rafiki, connu sous le nom d’Abou Hafs. Depuis quelques années, celui qui était considéré comme un des prédicateurs les plus virulents au début des années 2000 au point d’avoir été fiché comme un des ultras de la mouvance salafiste du temps où le général Hamidou Laanigri était le sécuritaire tout-puissant à la police et au renseignement, a considérablement adouci son discours, au point même de faire amende honorable et être réhabilité dans la vie sociale. AIC PRESS
Depuis quelques années, l’Etat cherche à réinsérer les salafistes repentis dans le jeu politique. Ceux-ci, incapables de créer une mouvance unifiée, le font en ordre dispersé, au risque de se couper de leurs bases et les pousser dans les bras du jihad mondialisé.
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