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09.08.2018 à 16 H 32 • Mis à jour le 09.08.2018 à 16 H 32
Par
Politique

Akhchichine, tête de turc d’une vendetta politique ?

Ahmed Akhchichine (à-d) en compagnie du Conseiller royal, André Azoulay lors de l’édition des 20 ans du Festival Gnaoua d’Essaouira en 2017. MOHAMED DRISSI KAMILI / LE DESK
L’accident de la circulation impliquant à Rabat la fille du président de la région Marrakech-Safi a ravivé une vieille cabale menée contre lui par un large spectre d’acteurs politiques et médiatiques, tous unis pour déterrer de concert ses supposées turpitudes lors de son mandat ministériel à l’Education nationale, au nom de la reddition des comptes voulue par Mohammed VI…

Depuis un certain temps, le président de la région de Marrakech-Safi se fait très discret au point d’irriter nombre de personnes au sein des milieux politiques et des affaires. « Il est aux abonnés absents, ne répond à personne au téléphone », lui reproche-t-on, reconnaissant tout de même que « c’était aussi le cas  » pour Fatima Zahra Mansouri, sa collègue au PAM, qui l’a précédée au poste.

 

L’accident de la circulation survenu à Rabat il y a quelques jours impliquant sa fille de 18 ans au volant d’un de ses véhicules de fonction, l’a brutalement remis aux devants de l’actualité. Médias et réseaux sociaux l’ont abondamment commenté, souvent avec hargne, l'associant ainsi à une réclame de reddition des comptes devenue particulièrement en vogue depuis le discours royal de la Fête du Trône.

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