Royaume-Uni
Brexit: les opposants au «no deal» face au risque d’élections anticipées
Le 23 juillet, Boris Johnson a remplacé Theresa May au poste de Premier ministre du Royaume-Uni. I-Images/ABC/Andia.fr
Les députés britanniques font leur rentrée mardi à Westminster dans une atmosphère extrêmement tendue. La suspension du Parlement à partir de la mi-septembre laisse volontairement peu de temps aux élus déterminés à légiférer contre une sortie sans accord de l’UE le 31 octobre. Pour certains, en précipitant des élections anticipées, le gouvernement tendrait un « piège » aux opposants au no deal.
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