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30.04.2020 à 06 H 41 • Mis à jour le 30.04.2020 à 13 H 01
Par
Enquête

Loi 22-20: la main cachée d’Akhannouch met en panique le RNI

(de g-à-d). Aziz Akhannouch, Mohamed Aujjar, Mohamed Ben Abdelkader, Driss Lacguar. Création: MOHAMED DRISSI KAMILI / LE DESK
De nouveau déstabilisé par l’affaire du projet de loi anti-fake news, le président du parti de la colombe devra convaincre, ce jeudi soir, son bureau politique de resserrer les rangs face à l’opinion publique qui gronde. Le Desk retrace les péripéties de cette affaire qui remonte à une réunion tenue le 12 mars entre le RNI et l’USFP où l’idée d’un texte liberticide servant les intérêts privés de Aziz Akhannouch a été relancée…

C’est le récit d’une conjuration avortée. Pour comprendre la genèse du projet très controversé de loi anti-fake news n° 22-20, il faut tirer les fils de l’histoire d’une alliance improbable de deux partis aux idéologies supposément antagonistes, celle du « libéral » RNI avec le « socialiste » USFP, qui a permis à ce dernier d’hériter du portefeuille de la Justice.


Nul besoin de rappeler les manœuvres du parti de Driss Lachgar durant la période dite du « blocage institutionnel » où il a servi la cause de Aziz Akhannouch pour culbuter Abdelilah Benkirane de la primature.


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