S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
20.05.2021 à 04 H 35 • Mis à jour le 20.05.2021 à 09 H 58
Par
Lobbying

Le Maroc enrôle Clout Public Affairs pour redorer son image à Washington

Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères à Dakhla , le 10 janvier 2021. FADEL SENNA / AFP/ GETTY IMAGES
Après une pause dans son lobbying américain, Rabat repart à l’offensive à Washington avec son premier contrat sous Biden. Cette fois-ci, la diplomatie marocaine a choisi un cabinet proche des Républicains aux méthodes décomplexées déjà expérimentées auprès de dictatures africaines. Objectif : bousculer l’arc de résistance des soutiens de l’Algérie et du Polisario et sortir la Maison Blanche de sa posture de neutralité

La diplomatie marocaine ne semble pas prête à tourner la page du parti républicain américain. Près de six mois après la proclamation présidentielle de Donald Trump reconnaissant la souveraineté du royaume sur le Sahara Occidental, le Maroc continue de cultiver ses liens avec le clan des conservateurs qui lui ont permis de faire le break à la veille de l’élection de Joe Biden. D'après des sources consultées par Le Desk, le Maroc s'est attaché les services de Clout Public Affairs (CPA), une agence de relations publiques, filiale d’Axiom Strategies, firme réputée proche du « GOP ».


Au moins deux dirigeants de CPA sont connus pour avoir déjà officié en tant que lieutenants du sénateur texan Ted Cruz, principal opposant actuel de l'administration Biden et fidèle allié de Trump qu'il n'hésite d’ailleurs pas à rencontrer régulièrement, depuis son départ de la Maison Blanche.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.