Au plateau d’Akrach, Moulay Hicham relance son vieux projet de ville nouvelle

Depuis des années, il clame avoir quitté le Maroc en raison de relations tendues avec le sérail et se disant « harcelé par les autorités » pour se consacrer à ses affaires aux Etats-Unis, dans le Golfe ou en Asie et pour mener des activités académiques sous la houlette de sa fondation éponyme domiciliée au Liechtenstein ou publier au gré de l’actualité des tribunes enflammées sur la situation politique dans le monde arabe, s’invitant parfois à commenter des événements relatifs au royaume.
Celui que la presse surnommait « le prince rouge », référence au caractère rebelle qu’il a voulu se forger, avait affirmé dans une autobiographie publiée chez Grasset en 2014 qu’il était « banni » de son pays. Mais Moulay Hicham n’a jamais totalement mis les voiles, lui qui connait mauvaise fortune à l’international où son business a périclité.

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