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21.08.2022 à 02 H 49 • Mis à jour le 21.08.2022 à 03 H 44
Par et
Diplomatie

Crise des visas avec le Maroc : la France sous pression médiatique

Visas De g-à-d, Bouazza Kharti, président de la Fédération de défense des droits du consommateur et Hélène Le Gal, ambassadrice de France à Rabat. Montage: Mohamed Mhannaoui/ Le Desk
Demande de restitution des frais de visas refusés à la chaine lancée par une organisation de défense des consommateurs, critiques continuelles sur les réseaux sociaux, articles de presse annonçant le départ imminent de l’ambassadrice de France à Rabat… : la diplomatie de Macron est sous le feu roulant de la critique au Maroc alors qu’il prépare sa visite de « réconciliation » en Algérie

Dans une lettre adressée récemment à l’ambassadrice de France à Rabat, Hélène Le Gal et fuitée sur les réseaux sociaux, la Fédération marocaine des droits du consommateur a sollicité son « intervention auprès des différents consulats de la République française au Maroc », afin de restituer les frais des visas non délivrés.


La Fédération qui regroupe 72 associations concernées par les droits des consommateurs dans diverses régions du Maroc, associe le refus de demandes de visas à « un service qui n'a pas été accompli ». Dès lors, « les dépenses doivent être restitués aux demandeurs ».


Des remontrances royales

La « crise des visas » a éclaté lorsque la France a annoncé, en septembre 2021, le durcissement de l’octroi des visas à l’égard des citoyens du Maroc et de l'Algérie (avec une réduction de 50 %), ainsi qu’à l’égard des citoyens de la Tunisie (avec une réduction de 30 %).

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