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13.09.2022 à 17 H 40 • Mis à jour le 13.09.2022 à 17 H 40
Par
Enseignement

Miraoui face aux effets pervers de la ‘reconnaissance’ étatique des écoles supérieures privées

Etudiants Des étudiants marocains et subsahariens inscrits au Maroc. Crédit: AFP
A quelques jours de la rentrée universitaire, l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) a décidé de ne plus collaborer avec les établissements supérieurs privés (ESP) marocains non 'reconnus' par l’État. Contactée par Le Desk, Wafaa Agoumi, présidente de l’Association marocaine de l'enseignement supérieur privé (AMESUP) souligne les rouages de ce label étatique « déloyal » et les préjudices qu'il engendre

La 'reconnaissance' étatique de l’Université Internationale de Rabat (UIR) en 2016 a ouvert la brèche à une série de 'reconnaissances' d'établissements supérieurs privés (ESP). Les conséquences de cette décision inquiètent les ESP dits 'non reconnus' par l'État, mais dont néanmoins les filières sont dument accréditées. Une situation qui génère des hostilités entre les établissements supérieurs privés.


Depuis quelques années, les ESP 'non reconnus' par l’État (à filières accréditées) font face à une dés-inscription alarmante de la part d’étudiants marocains qui migrent vers ceux qui sont 'reconnus'. La 'reconnaissance' étatique étant perçue un gage de qualité et une porte d’entrée vers les universités publiques ainsi que les concours d’accès à la fonction publique.


Récemment, ce sont également les étudiants venus d’Afrique subsaharienne, et représentant la grande majorité de l’effectif des étudiants de ces établissements, qui migrent vers les établissements 'reconnus' par l'État.


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