S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
16.03.2023 à 09 H 54 • Mis à jour le 24.09.2023 à 20 H 17
Par
Hydraulique

Station de dessalement de l’Oriental: la reprise en main de l’ONEE actée, les études relancées

Le Directeur général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, donne une déclaration à la presse. Crédit : MAP
Envisagée pour abriter la technologie israélienne de Mekorot, la future station de dessalement de l'Oriental sera finalement réalisée de manière conventionnelle, comme révélé par Le Desk. L'ONEE, ayant repris le projet de chez Nizar Baraka, vient de relancer les études pour cela. Les détails

En novembre dernier, la Direction générale de l'hydraulique, relevant du ministère de l'Équipement et de l'Eau, était recalée du projet de l'usine de dessalement de l'eau de mer de l'Oriental, au profit de l'Office national d'électricité et d'eau (ONEE) reprenant la main. Dans ce contexte, l'équipe d'Abderrahim Hafidi vient de lancer ce 15 mars les consultations pour la réalisation des études techniques et spécifiques pour la mise en place du projet de dessalement. Elles devront durer 18 mois.


Budgétisées à près de 18,9 millions de dirhams (MDH), les études en question portent aussi les adductions d'eau potable, apprend-on. Pour la future station, on envisage une capacité, donnée à titre indicatif, de 250 Mm3/an destinée à satisfaire les besoins en eau potable et ceux d'irrigation. Le projet comporte la prise d'eau de mer, la station de dessalement, les réservoirs d’eau dessalée, les ouvrages de rejet des saumures et les adductions d’eau potable vers les villes concernées, souligne-t-on.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.