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02.06.2023 à 19 H 28 • Mis à jour le 02.06.2023 à 19 H 28
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Nettoiement

Laftit met en stand-by le projet d’usine de traitement des déchets à Casablanca

Nabila Rmili, présidente de la commune de Casablanca Crédit : Mustapha Razi / Le Desk
La ville de Casablanca est confrontée depuis des années à un problème majeur et persistant : celui des déchets. Alors que la commune avait approuvé la construction d'une usine de traitement des déchets, considérée comme la solution à ce problème complexe, le ministère de l'Intérieur s'est opposé à son emplacement. Les détails

Alors que les dirigeants politiques chargés de la gestion de la ville de Casablanca s'efforçaient de résoudre la question des déchets ménagers et de lutter contre les odeurs nauséabondes qui tourmentent les Casablancais, une correspondance « inattendue » du ministère de l'Intérieur vient compliquer davantage un dossier considéré comme « hautement stratégique ».


Dans cette correspondance, signée par Abdelmajid El Hankari, gouverneur et directeur chargé des Affaires rurales par procuration d'Abdelouafi Laftit, et adressée à Nabila Rmili, présidente du Conseil communal de Casablanca, le ministère de l'Intérieur rejette la demande de la Commune visant à acquérir un terrain des communautés Soulaliyates d'une superficie totale de 260 hectares, situé dans la commune rurale d'Al Majjatia Oulad Taleb (Mediouna). Ce terrain était destiné à accueillir une usine de valorisation, de tri des déchets ménagers et de traitement des lixiviats, comme indiqué dans le Plan d’action communal (PAC), adopté dernièrement par le Conseil communal de la métropole.

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