Affaire LJM : le plan de Chakib Alj a « mal tourné », selon son ex-associé

Un paquet de dettes auprès d’organismes de crédits, des chantiers à l’arrêt, des sous-traitants laissés sur le carreau et leurs ouvriers non payés à la veille de l’Aid Al Adha : l’affaire Les Jeunes Maçons, révélée par Le Desk a secoué le milieu des affaires. Un choc au regard du statut de son principal protagoniste, Chakib Alj, patron de Cap Holding et président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), qui clame en être « la première victime » et des conséquences sur d’importants projets immobiliers à Casablanca Finance City ou au cœur de la Ville verte de Bouskoura.
De son côté, son ex-associé, Mouad El Moussouli à qui il fait porter toute la responsabilité de cet échec cuisant, apporte une version bien plus nuancée du rôle de chacun dans ce naufrage. « Chakib Alj n’est pas un enfant de chœur. J’ai compris de ce qu’il avance aujourd’hui est que j’aurais mal géré cette boite et lui, il a hérité d’un sale dossier et qu’il paie les pots cassés, mais la réalité est tout autre », commente-t-il dans un échange avec Le Desk. Le jeune ingénieur émiste de 35 ans, revient sur les origines de l’attelage qu’il a formé avec le patron des patrons ayant mené ce business à la dérive.

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