LGV jusqu’à Marrakech: le génie civil a attiré 20 groupes, principalement chinois et marocains

C'était en février dernier. Dans le cadre du projet d'extension de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) jusqu'à Marrakech, l'Office national des chemins de fer (ONCF) mettait en jeu un marché stratégique pour le chantier du futur TGV. Il s'agit des travaux de génie civil, qu'on doit confier à des entreprises de BTP et d'ingénierie.

Pour cela, l'ONCF a décidé de le scinder en sept lots, représentant chacun un tronçon du tracé entre Kenitra et Marrakech, et totalisant les 400 kilomètres de voies à construire. Si aucune indication n'était fournie quant au montant total des travaux, on fixait comme conditions de candidatures que la société en question doit avoir réalisé au moins une infrastructure estimée à 300 millions de dirhams (MDH).