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15.01.2020 à 21 H 15 • Mis à jour le 15.01.2020 à 21 H 16 • Temps de lecture : 4 minutes
Par

Parution Il était une fois Jilali Gharbaoui

Le livre de Latifa Serghini, récemment publié, permet de lever le voile sur la vie méconnue de « l’artiste marocain le plus connu au monde ». Alors qu’il bat tous les records dans le marché de l’art, Gharbaoui méritait que son histoire singulière, à plus d'un titre, soit racontée

C’est une drôle d’histoire. Celle d’un fils du Gharb, parti de rien, orphelin et dont la vie sera marquée par la solitude jusqu’à sa fin. Pourtant, à sa mort, Gharbaoui connaîtra gloire et succès. Dans un récent livre, Latifa Serghini revient sur le destin singulier de Jilali Gharbaoui, présenté comme « le peintre marocain le plus connu », précise-t-elle, pour ajouter qu’aujourd’hui, le natif de Jorf Melha, a réussi à faire parler de lui dans les plus grands musées et collections, comme dans les maisons bourgeoises, s’imposant sur les murs « comme une nécessité, un gage de standing, une preuve de culture et un regard obligé », écrit Serghini.

 

Sur près de 200 pages, celle-ci dresse une biographie chronologique de Gharbaoui, sur la base de documents, de biographies mais aussi de témoignages de personnes l’ayant connu de près, dont notamment les artistes Karim Bennani et Mohamed Melehi. Tout en citant le rôle qu’ont pu jouer plusieurs personnalités dans l’essor de Gharbaoui, à l’image d’Ahmed Sefrioui.

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