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12.05.2025 à 13 H 22 • Mis à jour le 12.05.2025 à 13 H 22 • Temps de lecture : 4 minutes
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Histoire Le club de Sebta promu en seconde division, une histoire maroco-espagnole qui divise

Quarante-cinq ans après, l’AD Ceuta, club principal du préside espagnol, rejoint de nouveau l’élite du football espagnol en validant, dimanche dernier, sa promotion en deuxième division. Un triomphe teinté de polémique depuis que la presse ibérique met en doute l’authenticité espagnole d’un club nord-africain…

Alors que les yeux étaient rivés sur le « Classico » décisif pour le titre de champion d’Espagne (victoire du FC Barcelone sur son rival du Real Madrid 4-3), le football espagnol a vécu, le même jour, un autre moment d’Histoire. L’AD Ceuta, club fanion de l’exclave espagnole au Maroc, a validé son accession en deuxième division à la toute fin de sa rencontre face au CF Fuenlabrada (victoire 2 buts à 1). Un succès décisif, à deux journées de la fin du championnat, qui offre au club de Sebta le droit de rejoindre l’élite professionnelle au sein de la très compétitive « Segunda División », deuxième plus haut échelon du football en Espagne. Un exploit plus vu dans le Préside depuis quarante-cinq ans et qui a légitimement donné lieu à des festivités à la hauteur de l’exploit de ce club au budget restreint. Toutefois, cette joie a rapidement été contrariée à la lecture d’un article du quotidien sportif catalan Mundo Deportivo qui sous-entend, dans un article paru le dimanche 11 mai, qu’un club pas vraiment espagnol va concourir avec le gratin du football national. La polémique ne tarde pas à enfler.


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