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19.10.2022 à 16 H 53 • Mis à jour le 19.10.2022 à 16 H 58 • Temps de lecture : 8 minutes
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Débat Macron complice de l’appropriation de la Grande Mosquée de Paris par Alger

Après l’affaire controversée du zellige, c’est au tour de la Grande Mosquée de Paris de subir effectivement l’appropriation d’Alger. Avec la bénédiction d’Emmanuel Macron, qui ne ménage aucun effort pour poursuivre son rapprochement avec le régime d’Abdelmadjid Tebboune

Ce 19 octobre, la Grande Mosquée de Paris célèbre son centenaire. Mais l’institution, contrôlée aujourd’hui par l’Algérie, ment sur son âge car elle ne fut inaugurée qu’en 1926. Loin d’être anodin, ce détail est le moyen pour Alger de mieux effacer toute trace du royaume de ce lieu de culte fondé pour rendre hommage à des milliers de musulmans tombés pour la France pendant la Première Guerre mondiale.


Nulle trace non plus du Maroc dans la présentation consacrée à la mosquée sur le site internet dédié. Aucun officiel marocain n’a été non plus invité à la commémoration, apprend Le Desk de sources françaises. Pourtant, le 15 juillet 1926, c’est bien le sultan Moulay Youssef qui inaugura le lieu de culte, aux côtés du président de la République Gaston Doumergue, flanqué entre autres par Hubert Lyautey, alors résident général au Maroc. Etaient présents également Ahmed el-Jai, grand vizir des Habous, Mohamed el-Mokri, autre grand vizir du Maroc sous le protectorat après avoir été ministre des Finances sous Moulay Hafid, et Kaddour Benghabrit, chambellan du sultan, à qui sera confiée la direction du lieu.


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