
Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la Transition énergétique et Ryad Mezzour, ministre de l’industrie et du commerce – CR : MAP. Montage : Le Desk.
« Morocco Tech » : Quand les ministres Mezzour mentent par omission
En réaction à la polémique entourant la marque « Morocco Tech », la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l'administration, Ghita Mezzour, et son cousin germain le ministre de l'Industrie, Ryad Mezzour, ont tenté d'éteindre le feu. Un document exclusif obtenu par Le Desk et fixant la chronologie du dépôt du dossier de la marque prouve cependant qu'ils ont menti par omission
À l'origine
La marque « Morocco Tech » continue de susciter critiques et interrogations quant à la portée de l'initiative, ayant souffert dès son début de plusieurs couacs plombant son démarrage.
Initialement, il s'agissait de reproches émis quant à l'utilité de l'initiative, les différents intervenants officiels ayant pris la parole n'ayant formulé aucune mesure concrète devant être prise pour soutenir l'écosystème des start-ups.
Rapidement, la « Morocco Tech » a été pointée du doigt, tout d'abord en raison du nom de domaine .ma n'ayant pas pu être réservé, se contentant du .org récupéré par le vice-président général de l'Apebi, Mehdi Alaoui, à travers une société personnelle.
Puis, comme nous le révélions, il y a eu l'affaire de la marque jugée irrecevable par les services de l'Office de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC). Jusqu'à ce 26 janvier, « Morocco Tech » demeure toujours introuvable sur le portail dédié aux marques marocaines.
Initialement, il s'agissait de reproches émis quant à l'utilité de l'initiative, les différents intervenants officiels ayant pris la parole n'ayant formulé aucune mesure concrète devant être prise pour soutenir l'écosystème des start-ups.
Rapidement, la « Morocco Tech » a été pointée du doigt, tout d'abord en raison du nom de domaine .ma n'ayant pas pu être réservé, se contentant du .org récupéré par le vice-président général de l'Apebi, Mehdi Alaoui, à travers une société personnelle.
Puis, comme nous le révélions, il y a eu l'affaire de la marque jugée irrecevable par les services de l'Office de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC). Jusqu'à ce 26 janvier, « Morocco Tech » demeure toujours introuvable sur le portail dédié aux marques marocaines.

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