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05.05.2021 à 13 H 02 • Mis à jour le 05.05.2021 à 13 H 07 • Temps de lecture : 1 minutes
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Polisario

La police espagnole identifie Ghali à son chevet d’hôpital, la justice notifiée

La police espagnole a informé, à sa demande, le juge d’instruction de l’Audiencia nacional (tribunal national de Madrid), Santiago Pedraz, que le chef du Polisario, Brahim Ghali, quittera les soins intensifs vendredi prochain, mais qu’il ne sera pas en mesure de déclarer car « son état cognitif ne sera pas adéquat » avant plusieurs jours suite à sa période de réhabilitation, rapporte ce mercredi le site d’information espagnol La Razón.


D’après la même source, le commissariat général d’information a indiqué au juge que les agents se sont rendus à l’hôpital de Logroño pour identifier Brahim Ghali. Le personnel a fourni à la police sa fiche d’entrée et son dernier rapport médical, ainsi que son document de sortie. « Il a été confirmé qu’il est entré à l’hôpital sans aucun document d’identité, accompagné d’un médecin algérien qui a apporté un texte, rédigé en français sur lequel figure l’identité algérienne supposément fausse », renchérit La Razón.


L’unité de police en question prévoit de remettre ce jeudi au juge un rapport exhaustif de l’état de santé de Ghali. Une fois en main, Pedraz décidera de reporter ou non sa convocation, jusqu’à ce qu’il se trouve en capacité de déclarer, explique le site d’information, précisant qu’il était convoqué pour ce vendredi.


Santiago Pedraz, juge d’instruction central n°5 de l’Audiencia nacional, avait demandé mardi à la police de déterminer si le chef du Front Polisario, Brahim Ghali, est admis dans un hôpital de Logroño avec la fausse identité de Mohamed Benbatouche, citoyen algérien, comme indiqué dans une plainte déposée contre lui par El Fadel Breika. Celui-ci, un citoyen espagnol d’origine sahraouie, accuse Ghali et d’autre personnes liées au Polisario de crimes présumés de détention illégale, torture et contre l’humanité.

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