Le Japon : « la Minurso est un cas d’école »

Un des domaines de désaccord avant l'adoption de la résolution sur le Sahara Occidental était de savoir si la question de la fonctionnalité de la MINURSO était compromise depuis l’expulsion du personnel civil par le Maroc. Le rapport du Secrétaire général note qu’au début du mois d’avril, le Maroc a accepté de recevoir 17 membres du personnel qui attendaient de retourner à leur mission. De cet état de fait, Tokyo a estimé qu'au-delà de la crise de Guerguerat, le sort de la Minurso est devenu un "cas d'école" dans le système des missions onusiennes de maintien de la paix. Pour le représentant du Japon, "l'efficacité des négociations" ayant abouti à un consensus sur cette question devrait être de mise pour la reprise de négociations directes entre les parties.

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