La défense étrangère des accusés déterminée à faire valoir l’aspect politique du procès

Abdelaziz Nouaydi, avocat de Naâma Asfari un des principaux accusés du procès de Gdim Izik a annoncé son retrait de la défense. En cause, l’usage dans une des plaidoiries d’un des avocats français proches de l’ONG française ACAT au terme « territoires occupés » pour désigner le Sahara occidental. « A trop vouloir politiser l’affaire en faveur des inculpés, leur défense concède des victoires lourdes de symboles à la partie adverse », a déclaré au Desk une source médiatique espagnole réputée pour sa neutralité.
Un avis qui est aux antipodes de celui des avocats étrangers qui, au nom du principe que « les accusés ont droit à un procès équitable conformément au droit international humanitaire », mettent en avant les Conventions de Genève qui, selon eux, devraient s’appliquer à ce procès et donc entériner le fait que « le Sahara occidental est un territoire non autonome », selon les termes onusiens.

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