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24.01.2017 à 18 H 03 • Mis à jour le 24.01.2017 à 18 H 04
Par
Affaire Gdim Izik

La défense étrangère des accusés déterminée à faire valoir l’aspect politique du procès

Le procès de Gdim Izik n’est pas encore entré dans le dur, alors qu’il achoppe déjà sur deux visions contradictoires : celle défendue par les magistrats et une partie de la défense marocaine sur son caractère commun et celle que portent certaines ONG internationales qui veulent en faire un procès politique fondé sur le statut même du Sahara occidental

Abdelaziz Nouaydi, avocat de Naâma Asfari un des principaux accusés du procès de Gdim Izik a annoncé son retrait de la défense. En cause, l’usage dans une des plaidoiries d’un des avocats français proches de l’ONG française ACAT au terme « territoires occupés » pour désigner le Sahara occidental. « A trop vouloir politiser l’affaire en faveur des inculpés, leur défense concède des victoires lourdes de symboles à la partie adverse », a déclaré au Desk une source médiatique espagnole réputée pour sa neutralité.


Un avis qui est aux antipodes de celui des avocats étrangers qui, au nom du principe que « les accusés ont droit à un procès équitable conformément au droit international humanitaire », mettent en avant les Conventions de Genève qui, selon eux, devraient s’appliquer à ce procès et donc entériner le fait que « le Sahara occidental est un territoire non autonome », selon les termes onusiens.

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