S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
01.07.2018 à 21 H 01 • Mis à jour le 03.07.2018 à 01 H 46
Par
Union africaine

Les détails du «rapport Faki» sur le Sahara

Moussa Faki Mahamat, en 2014, à Alger. AFP
Le président de la Commission de l’Union africaine a soumis dimanche à Nouakchott aux Chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA son rapport sur le Sahara qu’il a été mandaté à réaliser en juillet 2017. Il suggère la création d’un mécanisme africain visant à soutenir les efforts des Nations Unies dans sa recherche d’une solution au conflit. Le Maroc interprète avec satisfaction cette démarche

Le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a soumis ce dimanche lors du 31e sommet de l’Union africaine à Nouakchott un rapport très attendu sur le conflit au Sahara Occidental opposant le Maroc et le Polisario. Fait notoire, il préconise de mettre en place un mécanisme africain qui, cependant, ne se substituerait pas aux efforts des Nations Unies, mais accompagnerait le processus onusien.


Le rapport de sept pages, dont Le Desk a obtenu copie, destiné à relancer le processus de paix de ce conflit vieux de quatre décennies, a été étudié à huis-clos ce dimanche 1er juillet. Il fait suite à une série de rencontres qu’il a menées ces derniers mois, au Maroc, avec le roi Mohammed VI et le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, à Tindouf avec le chef du Polisario, Brahim Ghali et aussi en Algérie avec le premier ministre algérien Ahmed Ouyahia et son ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel sans compter avec le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz.


Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.