S'abonner
Se connecter
Logo du site LeDesk

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
24.01.2020 à 15 H 15 • Mis à jour le 24.01.2020 à 15 H 19 • Temps de lecture : 4 minutes
Par

Expo La colère des artistes exposés au Musée de la photo de Rabat

Plutôt bien reçue par les Rbatis, l’exposition inaugurale du tout-nouveau Musée national de la photographie de Rabat installé dans l’ancien Fort Rothenburg, récemment réhabilité, fait l’objet de critiques de la part…des artistes eux-mêmes. Ceux-ci fustigent «une gestion calamiteuse à bas budget», «des impressions sur bâches de qualité médiocre» et dénoncent un «choix inéquitable» des œuvres choisies…

À l'initiative de la Fondation nationale des musées (FNM), Rabat accueillait le 14 janvier un nouveau lieu culturel : le Musée national de la photographie qui, selon la FNM, « enrichit la cartographie des musées du royaume ». Si la réhabilitation in-extremis du Fort Rothenburg, appelé Borj El Kbir en a ravi plus d’un, des voix s’élèvent cependant pour critiquer la gestion de « Sourtna », son exposition inaugurale.


Requérant l’anonymat « pour des raisons professionnelles », ce groupe d’artistes met directement en cause le commissaire d’exposition, Yassine Alaoui Ismaili, connu sous le nom de Yoriyas, dont il se dit qu’il a été introduit dans le cercle très éclectique de Mehdi Qotbi, par Jack Lang en personne, qui a eu à le connaître à l'Institut du monde arabe (IMA) de Paris. Les détracteurs de Yoriyas taclent sa légitimité ayant débuté sa carrière dans le breakdance « avant de bifurquer soudainement vers la photographie de rue ». Ils lui auraient préféré Khalil Nemmaoui « eu égard à son expérience mais aussi à la reconnaissance de son travail par l'intégralité de ses pairs ».

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.