
Arancha González Laya ministre des Affaires Ètrangères d’Espagne et Nasser Bourita, ministre des affaires étrangères du Maroc. Photo Bourita et Montage © MOHAMED DRISSI K. / LE DESK
Affaire Ghali: Le Polisario crie au complot sur la base d’informations travesties
Deux faits ont été avancés par les pro-Polisario pour prétendre que l’Espagne a cédé au «chantage» du Maroc pour faire auditionner Brahim Ghali par sa justice : un tweet du correspondant de l’agence EFE à Rabat faussement interprété et l’absence du nom du chef des séparatistes sur un tableau des audiences au 5 mai, brandie comme preuve. Voici pourquoi ces deux « arguments » sont fallacieux
À l'origine
L’information révélée le 2 mai dans la presse, dont Le Desk , sur l’audition fixée du chef du Polisario, Brahim Ghali, au 5 mai par un juge madrilène, a été attaquée par un certain nombre de médias proches du Polisario et par ses supporters et autres commentateurs sur les réseaux sociaux, la qualifiant de « fake news », n’ayant pas pour origine une source officielle ou une agence de presse.

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