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16.07.2018 à 01 H 09 • Mis à jour le 16.07.2018 à 01 H 09 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°326.En Espagne, Pedro Sánchez veut mettre fin à l’apologie du franquisme

Du déplacement des restes de Franco à la reprise des fouilles pour identifier les fosses communes du franquisme, le gouvernement socialiste de Pedro Sánchez multiplie les annonces sur le terrain mémoriel. L’enjeu est de taille : son prédécesseur socialiste, José Luis Rodríguez Zapatero, est loin d’avoir tenu ses promesses sur le sujet

« Le Parti socialiste nous a habitués à mener ces batailles culturelles »évacuait, mi-juin, Andrea Levy. Cette députée, l’une des plus en vue du Parti populaire (PP, droite), insistait : « Elles n’apportent rien à la coexistence et à la concorde. » Levy s’en prenait aux premières annonces du gouvernement du socialiste Pedro Sánchez, qui semble bien décidé depuis son investiture, le 2 juin dernier, à enclencher une nouvelle étape dans la « récupération » des mémoires du franquisme en Espagne.


À ce stade, aucun projet de loi n’a été dévoilé, mais les déclarations du gouvernement sur le sujet se sont multipliées. Dans un entretien publié le 24 juin par El País, le chef de l’exécutif dévoilait l’une des mesures les plus spectaculaires : « Nous voulons retirer les restes de Franco sans attendre. Dans une démocratie mature comme la nôtre, en Europe, il ne peut exister de tels symboles qui divisent les Espagnols », avait expliqué Sánchez. Selon plusieurs articles de presse, cette décision devrait se concrétiser d’ici fin juillet, soit moins de deux mois après l’arrivée au pouvoir du PSOE.

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