S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En clair
Toutes les réponses aux questions essentielles de l’actu

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
31.03.2020 à 22 H 38 • Mis à jour le 31.03.2020 à 22 H 38 • Temps de lecture : 5 minutes
Par

n°577.Procès pour corruption et oppression du Hirak: les contradictions du pouvoir algérien

L’actualité judiciaire vient ranimer les contradictions du pouvoir algérien, matérialisées par deux séries de procès que tout oppose : d’une part, l’instruction et la condamnation par l’autorité judiciaire d’anciens responsables politiques de haut rang, dont deux ex-Premiers ministres, et par ailleurs, la poursuite et l’incarcération de manifestants et activistes politiques du Hirak

Le jugement en appel rendu par la Première chambre pénale près la Cour d’Alger, jeudi 26 mars, dans deux affaires de corruption liées, celle du financement occulte de la campagne d’Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat et l’affaire dite du « montage automobile », défrayant l’actualité judiciaire de ces derniers mois, a de quoi interpeller.


Condamnés en première instance à 10 ans de prison ferme pour « népotisme » et « corruption », les deux ex-ministres de l’Industrie, Mahdjoub Bedda et Youcef Yousfi ont vu leurs peines réduites de moitié en appel. De même pour trois hommes d’affaires, le sulfureux milliardaire Ali Haddad, ex-président du FCE, syndicat patronal algérien, condamné à 7 ans de prison ferme en première instance, ainsi que Hassane Larbaoui, Ahmed Mazouz, voient leur peine réduite à 4 ans.


Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.