
n°577.Procès pour corruption et oppression du Hirak: les contradictions du pouvoir algérien
Le jugement en appel rendu par la Première chambre pénale près la Cour d’Alger, jeudi 26 mars, dans deux affaires de corruption liées, celle du financement occulte de la campagne d’Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat et l’affaire dite du « montage automobile », défrayant l’actualité judiciaire de ces derniers mois, a de quoi interpeller.
Condamnés en première instance à 10 ans de prison ferme pour « népotisme » et « corruption », les deux ex-ministres de l’Industrie, Mahdjoub Bedda et Youcef Yousfi ont vu leurs peines réduites de moitié en appel. De même pour trois hommes d’affaires, le sulfureux milliardaire Ali Haddad, ex-président du FCE, syndicat patronal algérien, condamné à 7 ans de prison ferme en première instance, ainsi que Hassane Larbaoui, Ahmed Mazouz, voient leur peine réduite à 4 ans.

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